Le cerveau de l’enfant est très malléable et particulièrement sensible aux mots que l’enfant entend, à deux périodes-clés : la petite enfance et l’adolescence.
Ainsi la violence éducative, même quotidienne et qui semble anodine -« t’es pénible »- a une action sur la composition du cerveau…. et en bout de course les apprentissages.
L’empathie, et la parentalité positive qui va avec, ne sont pas à confondre avec du laxisme, bien au contraire.
N’hésitez pas à vous faire accompagner pour traverser des moments difficiles avec votre enfant. Elever un enfant EST difficile par essence.